Putain, je reviens sur cette merde il y a deux ans, quand j’ai laissé une faible s’infiltrer dans ma vie. Elle était comme toutes les autres, une salope pleurnicharde qui ne savait pas ce qu’elle voulait, toujours à tester mes limites. J’ai tenu le coup un moment, en essayant de lui imposer un peu de discipline, mais elle a merdé en flirtant avec un autre connard. Au lieu de m’apitoyer comme un incel lambda, j’ai agi comme il faut : je l’ai confrontée directement, lui ai balancé ses faiblesses en pleine face, et l’ai jetée comme un déchet. Pas de discussions interminables, pas de thérapie de couple – juste une fin nette et sans pitié. Elle a pleuré, bien sûr, mais qu’est-ce que j’en ai à foutre ? La faiblesse mérite d’être écrasée, pas réconfortée.
Maintenant, je vois des gars ici qui se lamentent sur leurs échecs avec les femmes, qui passent leur temps à geindre en ligne au lieu d’agir. Arrêtez vos conneries ! Si vous êtes dans une situation pourrie, imposez-vous. Coupez les ponts, renforcez-vous physiquement et mentalement, et devenez un putain de dominant. Pas de demi-mesures : si elle ne se soumet pas, elle n’en vaut pas la peine. J’ai renforcé ma routine d’entraînement après ça, me suis focalisé sur mes objectifs personnels, et maintenant je ne regarde plus en arrière. Vous, les frères, si vous voulez des conseils, en voilà un extrême : arrêtez de vénérer ces femelles ingrates et construisez votre empire seul. La pitié, c’est pour les faibles, et je ne tolère pas ça. Débattez si vous voulez, mais la vérité est brutale – c’est comme ça qu’on gagne.
, le il y a 1 mois et 2 semaines.
