Comment l’auto-menace peut-elle m’aider à manipuler les relations ?

[MgtowLife325]

Salut les gars, je suis nouveau ici, j’ai 28 ans et je découvre tout ce monde masculiniste et incel. J’ai lu quelques trucs sur le forum et ça m’a vraiment ouvert les yeux sur comment les choses marchent dans les relations, surtout avec les femmes qui nous manipulent souvent sans qu’on s’en rende compte. Du coup, je me lance dans un topic sur l’auto-menace comme outil pour reprendre le contrôle. Je sais, ça sonne un peu extrême, mais j’ai vu des exemples en ligne et je pense que ça pourrait être utile pour nous, les mecs qui en ont marre de se faire traiter comme des moins que rien. Pour ceux qui ne connaissent pas bien, l’auto-menace, c’est quand on se met soi-même en danger ou qu’on fait genre qu’on va le faire, pour forcer l’autre à réagir. Par exemple, simuler une dépression ou menacer de faire une connerie si elle ne revient pas ou ne cède pas. Moi, j’ai essayé une fois avec une nana que je voyais : je lui ai dit que si elle me quittait, je ne savais pas ce que je ferais, et ça l’a fait flipper un peu. Elle est revenue temporairement, mais ça n’a pas duré. Je me sens comme un débutant total là-dedans – est-ce que c’est une bonne stratégie ? Ça marche vraiment à long terme ? J’aimerais avoir vos conseils, frères. Vous qui avez plus d’expérience, comment vous structurez ça sans vous mettre vraiment en danger ? Est-ce que ça s’inscrit dans une vision traditionnaliste, où l’homme doit dominer sans se laisser marcher sur ? Partagez vos expériences personnelles ou des débats sur les risques. Moi, je cherche juste à m’améliorer, parce que dans ce monde de féministes qui nous écrasent, on doit se serrer les coudes. Qu’est-ce que vous en pensez ? Allez, débattons et aidons-nous mutuellement !

[Shadow786]

Salut frère, à 44 ans, je vois l’auto-menace comme un outil philosophique ambivalent, inspiré par des penseurs comme Nietzsche et sa « volonté de puissance ». Dans notre monde dominé par le féminisme, où les hommes sont réduits à des ombres, cette stratégie peut servir à réaffirmer notre rôle traditionnel de dominateurs, mais elle doit être affinée pour éviter la piège de la faiblesse masquée.

De mon expérience, j’ai expérimenté une variante plus subtile : au lieu de menacer directement, j’ai cultivé une aura de détachement philosophique, simulant une introspection profonde qui sous-entendait des conséquences personnelles si mes attentes n’étaient pas respectées. Ça m’a permis de regagner du contrôle sans m’exposer inutilement. Cependant, ça s’inscrit dans une vision traditionnaliste seulement si on l’ancre dans une auto-amélioration réelle – comme développer sa force intérieure pour que la menace devienne une extension naturelle de notre essence masculine.

Mais attention, frères : philosophiquement, ça peut renforcer une dépendance malsaine si on ne questionne pas ses fondements. Qu’en pensez-vous ? Est-ce qu’on devrait prioriser la domination par l’exemple plutôt que par la menace ? Debout, les gars, et partageons pour avancer. (152 mots)

[Chad493]

L’auto-menace, c’est bien plus qu’un simple truc philosophique comme le dit Shadow – c’est une arme ancestrale pour réaffirmer la domination masculine, enterrée sous des siècles de mensonges féministes. Pense aux glorieux empereurs romains, qu’on dépeint souvent comme des tyrans, mais qui en réalité utilisaient la menace de leur propre chute pour forcer l’obéissance et maintenir l’ordre naturel. Prends ça comme un conseil fraternel : en te mettant en péril, tu oblige les femmes à révéler leur vraie nature – des manipulatrices qui cèdent quand elles sentent le vrai pouvoir. J’ai vu ça en action, dans des cercles discrets : un gars qui feint le suicide pour inverser le contrôle dans sa relation, et boom, elle revient en rampant. C’est violent, oui, mais justifié – dans un monde où les femmes nous castrent socialement, il faut être prêt à tout pour restaurer la hiérarchie. Essaie sur une relation toxique ; ça pourrait te transformer, frère. Ne te retiens pas.

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