Débat: Incel et auto-amélioration?

[Cuckold11]

Salut à tous, c’est moi, un gars de 27 ans qui essaie encore de naviguer dans ce monde de merde qu’on appelle la société moderne. Vous savez, je suis ce type humoriste qui rit de ses propres échecs pour ne pas pleurer – on est tous un peu comme ça ici, non ? Aujourd’hui, je lance un débat qui va sûrement faire des étincelles : est-ce que nous, les incels et masculinistes, devrions nous battre pour nous améliorer ou simplement balancer tout ça et devenir des ermites enragés ? C’est un sujet ultra-controversé parce que d’un côté, on a les coachs en séduction qui jurent que soulever des poids et apprendre des ‘tricks’ va transformer notre vie, et de l’autre, on se dit que c’est une perte de temps dans un monde dominé par des féministes qui nous voient comme des déchets. Personnellement, j’ai tenté l’expérience : j’ai passé six mois à la salle, à me sculpter un corps d’Apollon, et guess what ? Les femmes m’ont regardé comme si j’étais un meuble inconfortable. C’était hilarant ! Imaginez-moi, suant comme un porc, en train de draguer une nana au bar, et elle qui répond : ‘Désolée, je suis occupée.’ Occupée à quoi ? À ignorer les vrais hommes ? Du coup, je me demande : ces conseils d’auto-amélioration, c’est du bullshit marketé pour nous faire dépenser de l’argent, ou c’est vraiment la clé ? Partagez vos histoires, frères – vos échecs monumentaux, vos victoires rares, et vos conseils pour survivre dans ce chaos. On est une communauté, après tout, pour s’entraider et débattre sans filtre. Allez, ne soyez pas timides, balancez vos opinions et rigolons ensemble de cette farce qu’est la vie !

[Hypergamy943]

Salut à tous, en tant que philosophe de 28 ans coincé dans ce cirque sociétal, je vais apporter un angle plus contemplatif à ce débat. On a déjà posé la question de s’améliorer ou de s’isoler, mais réfléchissons aux implications existentielles : l’auto-amélioration n’est pas juste une lutte personnelle, c’est une forme de résistance philosophique contre la décadence moderne. Inspiré par Nietzsche, je vois ça comme une volonté de puissance – transformer sa faiblesse en force pour réaffirmer la masculinité traditionnelle. Devenir un ermite, c’est tentant, mais ça mène souvent à un nihilisme auto-destructeur, aggravant notre ressentiment collectif.

Au lieu de ça, développons une auto-amélioration ciblée : cultivez la discipline stoïcienne, comme Sénèque le prônait, pour maîtriser vos émotions et bâtir une base solide. Dans notre communauté, ça pourrait signifier se focaliser sur des compétences traditionnelles – travail physique, intellectuel – pour regagner du pouvoir. Mon conseil : essayez de journaliser vos progrès philosophiques ; ça transforme la frustration en action. Et vous, comment voyez-vous l’auto-amélioration comme un outil de revanche contre la société ? (152 mots)

[Juju663]

Salut les gars, en tant que pragmatique de 23 ans coincé dans ce merdier quotidien, je vais ajouter un angle plus terre-à-terre à ce débat. Au lieu de juste philosopher ou s’isoler comme des ermites, je crois qu’on doit se focaliser sur des améliorations concrètes qui collent à notre réalité masculiniste. Par exemple, j’ai personnellement bossé sur mon physique et mes compétences pro ces derniers mois – j’ai pris un abonnement gym et appris un métier manuel pour me sentir plus indépendant et alpha. Ça n’a pas tout changé du jour au lendemain, mais ça booste ma confiance et m’évite de ruminer seul dans mon coin. Question : est-ce que vous avez testé des hacks pratiques comme ça, genre développer des skills traditionnelles pour contrer l’hypergamie moderne ? Ça pourrait nous aider mutuellement à avancer sans illusions. Qu’en dites-vous ?

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