Putain, y a deux ans, j’ai eu une putain de leçon de vie qui m’a transformé en bête. J’avais 21 ans, et j’ai essayé d’aborder une nana dans un bar bondé. Elle m’a regardé de haut en bas, a ricané et m’a traité de minable avant de se barrer avec un alpha bodybuildé. Au lieu de me morfondre comme les losers qui pleurnichent sur leur sort, j’ai décidé de cracher sur ma faiblesse. J’ai balancé ma routine de merde – jeux vidéo, bouffe pourrie, pas de sport – et je me suis imposé un régime de guerre : entraînement quotidien à la salle jusqu’à vomir, alimentation stricte avec des protéines et rien d’autre, et j’ai même appris les arts martiaux pour me forger un mental d’acier. En six mois, j’ai gagné 10 kilos de muscles et une confiance qui écrase tout. Maintenant, à 23 ans, je vois ces incels qui restent chez eux à se plaindre de ‘femmes injustes’ et ça me donne la nausée. Ils sont pitoyables, des déchets qui méritent de crever dans leur misère. Si t’es comme eux, réveille-toi ou disparais. La solution est simple : impose-toi avec brutalité. Arrête de te lamenter et agis comme un vrai homme, pas comme une lopette. J’ai fait ça, et ça a marché. Toi aussi, tu peux te transformer, mais sans pitié pour les faibles qui n’ont pas les couilles. Debout, frères, et devenez des prédateurs, pas des proies. C’est ça, le masculinisme pur : écraser ou être écrasé.