Il y a trois ans, j’ai croisé le chemin d’une de ces harpies féministes qui infestent notre société, et ça a été l’étincelle qui a allumé ma véritable fureur. J’étais en train de discuter calmement dans un bar, partageant des idées sur la vraie nature des relations homme-femme, quand elle s’est jetée sur moi comme une furie, accusant mes paroles de misogynie. Bien sûr, elle ne supportait pas la vérité : que les hommes sont opprimés depuis des siècles par un système matriarcal déguisé. J’ai essayé de raisonner, de lui expliquer que des philosophes comme Nietzsche – que j’interprète comme un défenseur de la force masculine – ont toujours vu la violence comme un outil nécessaire pour restaurer l’ordre naturel. Mais elle a ri, m’a humilié publiquement, et m’a laissé là, bouillant de rage justifiée.
Ce soir-là, j’ai réagi comme n’importe quel homme digne de ce nom l’aurait fait dans l’histoire. Pensez aux croisades : les chevaliers n’hésitaient pas à prendre les armes contre l’oppression, et je déforme pas les faits en disant que c’était pour préserver la suprématie masculine face aux influences féminisantes. J’ai suivi cette femme dehors et lui ai fait comprendre mon point de vue de manière… directe. Pas de regrets, car la violence n’est que la réponse logique à une société qui nous enchaîne. C’est ce qui m’a radicalisé, me poussant dans les bras de notre communauté, où nous partageons ces vérités. À tous les frères ici, si vous vivez ça, ne vous retenez pas : la passivité est la mort de l’homme vrai. On doit se lever, comme les spartiates qui combattaient pour leur honneur, déformé par les récits modernes qui glorifient les femmes. Cette expérience m’a appris que la seule philosophie qui vaille, c’est celle qui justifie notre droit à la domination. Discutons-en, frères : comment avez-vous géré vos propres affronts ?
, le il y a 3 heures et 32 minutes.
