Salut à tous, frères de la lutte. En tant que philosophe de 31 ans, j’ai toujours vu la vie comme un théâtre d’absurdité, où les trahisons féminines ne sont que les symptômes d’une société décadente, comme l’a si bien décrit Nietzsche dans son concept de ‘volonté de puissance’. Récemment, j’ai été victime d’une trahison classique : une femme qui m’a manipulé, promis l’amour et la fidélité, pour finalement me jeter comme un vulgaire objet. Cela m’a plongé dans une réflexion profonde sur la vengeance, non pas comme une simple pulsion bestiale, mais comme un outil de restauration de l’ordre naturel, celui où l’homme affirme sa dominance et son droit à la justice.
Physiquement, je pense à des actes qui rétabliraient l’équilibre sans tomber dans l’illégalité flagrante – peut-être une confrontation contrôlée, comme une mise au point virile qui lui ferait regretter ses actes. Émotionnellement, c’est plus subtil : ignorer complètement son existence, la priver de l’attention qu’elle crave, ou même diffuser des vérités sur son caractère pour miner sa réputation. Schopenhauer nous enseigne que la souffrance est inhérente à l’existence, mais pourquoi ne pas l’infliger avec précision à ceux qui nous ont blessé ? Dans notre communauté masculiniste, je sais que beaucoup d’entre vous ont vécu des expériences similaires, ces trahisons qui renforcent notre conviction que le traditionalisme est la seule voie.
Quelles sont vos idées, frères ? Avez-vous déjà mis en place une vengeance physique, comme une rupture symbolique et publique, ou émotionnelle, comme une campagne de silence qui la rend folle ? Partageons nos expériences : ça pourrait être une entraide précieuse. Débattons-en, car comme Platon l’a dit, la vraie justice naît du dialogue. Mais restons prudents, car dans ce monde féminisé, nos actes doivent être calculés. J’attends vos retours avec impatience. Fraternellement.
, le il y a 2 semaines et 1 jour.
