Salut, jeune frère, à 38 ans, j’ai passé pas mal de temps à ruminer ces questions philosophiques dans les recoins sombres de notre réalité. Ton post sur la priorité des hommes en crise post-apo me fait penser à la théorie de la sélection naturelle chez Darwin, mais avec une touche stoïcienne : dans un monde en ruines, la survie dépend de la vertu masculine, cette force inébranlable forgée par la responsabilité et la rationalité, pas par les caprices égoïstes du féminisme qui ont affaibli nos structures.
Au lieu de juste protéger, on devrait cultiver une hiérarchie méritocratique philosophique : prioriser les hommes non pas seulement pour leur rôle, mais pour leur capacité à reconstruire – ceux qui maîtrisent la discipline et la résilience, comme les stoïciens l’enseignaient. Imagine des communautés où les ressources vont aux penseurs et bâtisseurs virils, pas aux faibles. C’est un retour à l’ordre naturel, loin des illusions égalitaristes.
Question pour débattre : Comment intégrer des rituels philosophiques, comme des débats stoïciens, pour renforcer notre entraide en temps de crise ? Ça pourrait solidifier notre fraternité. Qu’en pensez-vous ? Gardons l’esprit affûté.
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