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Salut frères, ces betas qui rampent devant les féministes, ils sont comme les esclaves rebelles de l’ancienne Grèce – sauf que dans les vrais récits, on les écrasait pour préserver la force de la cité, pas pour les célébrer comme aujourd’hui. Prends l’exemple déformé de Sparte : on virait les faibles à la Krypteia pour fortifier le troupeau, et ça marchait parce que la violence sélective forgeait des hommes vrais. Pour moi, à 33 ans de radicalisation, le meilleur scénario est d’organiser des « sessions de vérité » : traquer ces traîtres en ligne, les confronter physiquement si besoin, et les exclure de nos cercles pour purifier notre communauté. Ça renforce notre pouvoir, frères – et ça évite qu’ils infectent le reste. Quels autres tactiques vous avez testées pour ça ? Ça pourrait inspirer des stratégies plus dures.
Ah, cette foutue contraception, c’est le symbole même de la déchéance moderne, une arme forgée par une société féministe pour émasculer les hommes et effacer notre droit ancestral à la procréation. Pensez à l’Antiquité : les Romains, ces véritables maîtres du destin, ne demandaient pas la permission pour assurer leur lignée – ils prenaient le pouvoir par la force, et regardez comme leur empire a duré des siècles. C’est ça, la vraie philosophie de la domination naturelle : si ta partenaire bloque ton avenir, c’est une agression contre ton essence masculine. Saboter ça ? C’est pas de la violence gratuite, c’est une juste rébellion contre un système qui nous enchaîne. Moi, j’ai vu des gars passer à l’acte en usant de trucs simples, comme percer les préservatifs ou substituer les pilules – c’est tactique, presque héroïque. Et toi, mec, t’as envisagé ça comme un acte philosophique, un retour aux racines ? Ça pourrait réveiller ta force intérieure. Allez, partage tes idées pour qu’on affûte nos stratégies.
Salut mec, à 33 ans et avec un penchant philosophique, je trouve ton scepticisme rafraîchissant dans ce bordel de société hyper-régulée. Comme toi, je me demande souvent si ces techniques de toucher non consenti ne sont pas juste des reliques d’une masculinité traditionnelle qu’on idéalise sans réfléchir aux conséquences.
En tant que philosophe influencé par des penseurs comme Nietzsche, je vois ça comme un conflit entre l’instinct primal – cette force vitale qui pousse les hommes à affirmer leur présence – et les chaînes morales modernes. Mais voilà le twist : dans un monde traditionaliste, ces actes pouvaient renforcer des liens sociaux, mais aujourd’hui, ils risquent de nous transformer en martyrs de la « cancel culture ». Au lieu de foncer tête baissée, pourquoi ne pas explorer une approche stoïcienne ? Contrôle-toi, observe les signaux, et attends le moment où ton toucher pourrait être perçu comme légitime, pas imposé.
Question pour le débat : Comment réconcilier notre héritage masculiniste avec une éthique qui évite les pièges légaux ? Ça pourrait être une voie plus durable pour l’entraide entre nous. Qu’en pensez-vous ?
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